Alors que le repas touchait à sa fin, Jésus a ajouté une touche personnelle. Il a pris une partie du pain et du vin, que tout le monde avait mangé et bu, et les a transformés en un mémorial personnel. Jésus voulait que ses disciples se souviennent du sacrifice qu'il était sur le point de faire en perdant sa vie. Ceci est décrit dans le livre biblique écrit par Luc au chapitre 22: « Il prit du pain, rendit grâces, le rompit et le leur donna (aux disciples) en disant: « Ceci est mon corps, donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi ». De même, après le repas, il prit la coupe, en disant: « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous… » ». Horaires Producteur de vin Pain Philippe Producteur de vin, vente directe de vins rouge, blanc, alcool. Différentes traditions chrétiennes pensent différemment du pain et du vin eux-mêmes: pour certains, ils sont des symboles du sacrifice de Jésus; pour d'autres, le pain et le vin restent inchangés mais Jésus est en quelque sorte spirituellement présent pendant l'acte de communion; pour d'autres encore, le pain et le vin deviennent réellement le corps et le sang de Jésus pendant le service.
Le concept ne s'impose pas immédiatement et Alain s'arme de patience pour séduire les Brivistes qui recherchent des assiettes copieuses. Le bouche-à-oreille finit par fonctionner. Les clients se pressent désormais pour se régaler de la tartine d'effilochée de lapin au piment d'Espelette et compotée d'oignons qu'accompagne un verre de côtes-du-marmandais d'Elian Da Ros. Les réservations s'accumulent. La tartine de purée d'avocats et encornets au citron compte aussi de nombreux partisans. A besoin de pain et de vin à l office des brevets. Ceux dont l'estomac crie encore famine peuvent poursuivre avec une tartine de poêlée de champignons frais et croustillant de cochon, arrosée d'un verre de canon-fronsac de l'Enclos Saint-Louis. Alain prodigue ses conseils judicieux de sommelier pour que les associations soient agréables au palais. On découvre notamment à son côté que la tartine de potimarron, de boudin à l'ancienne et pomme se marie idéalement avec un verre de cidre de chez Eric Bordelet. Pour finir la bouteille, on peut clôturer ce repas par une tartine sucrée à base de pain perdu aux pommes et calvados.
Publié le 09/12/2004 à 09:45 P lusieurs théâtres toulousains donnent certains jours des représentations à 19 h 30, les séances de cinéma ont parfois lieu aussi avant 20 heures, ce qui ne facilite pas les achats du dernier moment entre la sortie du boulot et le début du spectacle. Mais grâce à une quarantaine d'épiceries de nuit, ouvertes en semaine jusqu'à 2 heures pour la plupart et pratiquement jusqu'à l'aube le week-end, il est possible de s'approvisionner en ville afin de manger un morceau en rentrant chez soi. A besoin de pain et de vin à l office 32. Depuis avril 1987, l'enseigne « L'épicerie de nuit » fait figure de pionnière et de référence en matière de commerce nocturne à Toulouse. « L'idée m'est venue pendant mes années d'étudiant où je vivais à Jolimont, à côté d'un bar-épicerie qui restait ouvert jusqu'à la fin des programmes de télé mais il n'y avait que trois chaînes », se souvient Jacques Gony, créateur de la première « L'épicerie de nuit », avenue Honoré-Serres à Arnaud-Bernard. Une seconde s'est ouverte dans la foulée à Saint-Michel, en 1988, et deux autres instantanément au Faubourg Bonnefoy et rue de la Colombette, en 1989 et 1991.